Départ de Bron à 6h30 pour arriver à les Chappes au environ 8h30. Circulation dense mais fluide sauf sur la fin comme d’hab’. Puis trouver une place pour se garer, ce n’est pas facile. Après 5 minutes de marche on met les skis, il est 9h10 altitude, 950m.
Nous suivons la route enneigée, puis le chemin bien balisé. Il est assez raide par endroits jusqu'à arriver à un replat vers 1550 m, au-dessus de la limite de la forêt. De là, nous continuons à monter en direction du sud-ouest sur la trace préparer pour nous depuis ce matin 8h00. En faite, la trace est faite jusqu’au sommet, il est impossible de se perdre.
Nous repérons les trous. Prudence sur la voie normale : peu avant le couloir N final se trouve une zone de trous dangereuse sur la gauche de la trace de montée. Bien les repérer pour la descente.
Enfin, nous arrivons sous le sommet à midi. Après avoir déchaussés, il reste à grimper les 50 derniers mètres par un couloir à 70° pas top, car c’est l’heure de pointe, puis une échelle, pour arriver sur la crête sommitale.
Patrick a voulu faire une descente express puis il s’est freiné. Bon, on n’a pas osé filmer…
Vue magnifique sur une mer de nuage, sous le soleil et sans vent.
Puis retour sous le sommet par le couloir toujours en heure de pointe…
Pause déjeuner, puis descente dans 20 cm de poudre, c’était comme au cinéma, si si. Là aussi il y avait beaucoup de trace (facile de se tromper de versant) nous restons groupé. Après la mi-descente, il y avait un très léger film de gèle sur la neige. Arrivé dans la forêt, nous avons testé la piste à Edgar (Grospiron pour les jeunes). Il a vraiment fait des émules. Il faut dire qu’environ deux cents personnes sont montées au sommet ce jour. Par conséquent à la descente, quand on passe, c'est déjà creusé même si on a un bon dossard.
Retour à la voiture au environ de 13h30, puis à Lyon à 16h30.
C’était une très belle journée, avec des gens merveilleux dans un cadre idyllique. Merci à Babeth.
Pour ceux qui ne me croient pas i.e. les photos.
Nota Ben : Jean-Michel, nous sommes passés loin des trous, mais….