07-04-2018
Belledonne
1250
1100
2350
F

Pour bien entamer ce week-end, nous nous fixons comme objectif le col de la porte d’église, une montée face ouest peu fréquentée en belledonne.

Après un départ à 5h45 du parking de Bron, nous nous regroupons sur un petit chemin juste à côté du grand thiervoz (1100m), où nous y sommes accueilli par de la faune locale: deux biches et un cerf. La journée commence bien ! 

À 7h45 nous commençons notre ascension skis sur les sacs pour chausser un peu plus tard aux alentours de 1300. Après avoir passé le premier chalet de la petite valloire, le sentier à suivre devient plus d’incertain et il n’est pas impossible d’un ou deux raccourcis aient été pris en traversant la forêt…

Notre randonnée se poursuit et nous profitons pendant notre traversée d’un cadre à la fois magnifique et sauvage, et surtout, rien que pour nous. Aux alentours de 11h, nous faisons le point vers 2350m, à environ 150m du col et décidons de ne pas poursuivre la montée. En effet, la présence de nombreuses coulées aux alentours pour une perspective de ski peu attrayante, au milieu d’amas bien compacts, nous dissuadent de prendre un risque supplémentaire et jugé inutile. La montée au col, ce sera pour une autre fois ! 

Nous redescendons donc dans une neige assez agréable sur le début, de la moquette de qualité, puis très changeante et plutôt compliqué à skier sur les deux tiers restants. Pour citer NicoPat: “C’est que du plaisir”...

Nous nous arrêtons pour pique niquer plus bas, à la lisière de la forêt, aux alentours de midi. En guise de dessert, JC nous organisa un exercice de recherche DVA : 3 balises à chercher, avec passage individuel chronométré, ça rigole pas !

Sans surprise, les appareils les plus récents offrent les meilleurs performance et trouvent sans soucis les 3 balises (dont 2 espacés d’un mètre seulement), là où d’autres appareils sans fonction de marquage, voire sans écran numérique, galèrent un peu plus et ne trouvent pas forcément toute les balises.

Notre sortie sur termine sur la terrasse du bar d’Allevard où apparemment la grosse voix de certains gaulois avait marqué l’esprit du serveur lors d’un passage précédent.