Sylvie et Aurélie nous avaient proposé ce bon we alliant un samedi de remise en jambes à Val Thorens et un dimanche de ski de randonnée.
Ceci est le CR de la journée de samedi (et surtout de la mémorable soirée !) :
Rdv samedi à 7h, nous sommes 12 gaulois en trois voitures, avec skis de rando et forfaits en poche. En route pour le télécabine d’Orelle, objectif Val-Thorens et ses hors-pistes.
Bien disciplinés, nous mettons et testons les DVA avant de démarrer les descentes. Aurélie teste le niveau de chacun, nous fait faire des petits exercices de dérapage et de virages sur piste.
Ces préliminaires accomplis, assez vite nous basculons vers de hors-pistes de toutes les raideurs et bien travaillés par le passage de skieurs. Difficultés variables, chacun essaye de peaufiner sa technique de descente. On se regarde, on se fatigue.
Les deux encadrantes sont d’excellentes skieuses. Certains s’attèlent à suivre Sylvie dans les virages pour s’imprégner de son style. D’autres, comme moi, nous entêtons à faire des virages sautés, en recherchant la moindre petite raideur … Sylvie et Aurelie nous expliquent chacune leur technique …planter d’un seul bâton ou des deux ? On commente, on teste, on progresse, les cuisses brûlent. Les pistes ne sont pas loin, de fois nous les prenons le temps de nous reposer.
Après cette bonne journée, nous rentrons vers le très luxieux et agréable gîte « Nilautpala Dreams », dans le centre de Saint-Jean de Maurienne. Le seul gîte que j’ai jamais vu où nos skis peuvent passer la nuit allongés par terre, loin les uns des autres dans une salle de yoga décorée.
Nous sommes en gestion libre. La soirée démarre par l’inévitable apéro bière à volonté, suivi du challenge « rhum arrangé » qui a le mérite de nous mettre tous de très bonne humeur. Soupe exotique suivie de lapin à la moutarde (nous apprécions les qualités culinaires de Sylvie, déjà au top par ses qualités de skieuse et de formatrice). Gâteau au chocolat en désert. Nous finissons par bien rigoler et raconter pas mal de bêtises, dans une très bonne ambiance. Et nous n’oublions pas d’aérer de temps en temps la pièce.
En bons gaulois, nous préparons en même temps la journée de ski de rando du lendemain, la Cime du Lancheton par Montdenis et via le petit col juste au-dessus de la Croix du Chatelard. Nous décidons d’une heure de départ bien décidés à nous y tenir (pour la suite, voir CR du lendemain).